Différents facteurs peuvent avoir un impact sur le bilan financier de votre entreprise. Un retard de livraison de la part du fournisseur contraint l’entreprise à ne pas respecter la date de livraison chez le client. Quelques décalages temporels peuvent peser lourd sur votre trésorerie. Dans ce cas, il est tout à fait possible pour l’entreprise d’augmenter son besoin en fonds de roulement, alors que cela peut nuire à sa santé financière. Mais qu’est-ce qu’un besoin de fonds de roulement, comment se calcul-t-il ? Comment l’analyser ?

Le BFR ou besoin de fonds de roulement : définition

Le besoin de fonds de roulement détermine la somme nécessaire à l’entreprise pour couvrir ses charges courantes en attendant que le client règle ses factures. Il est souvent nécessaire en cas de décalage temporel entre l’argent que la société doit dépenser et les gains qu’elle doit réaliser. En d’autres termes, il est possible de définir le besoin de fonds de roulement comme étant le « prix du temps ». La base de calcul du BFR se fait comme suit :

BRF = (Stocks + Créances Clients) − (Dettes fournisseurs, sociales, fiscales)

Il ne doit pas être confondu avec le fonds de roulement. Ce dernier sert à couvrir le BFR, et qui se calcule en auditionnant la trésorerie nette avec le BFR.

Le BFR : un indicateur financer indispensable pour le bon fonctionnement de votre entreprise

L’analyse du BFR est un indispensable pour connaître la santé financière de votre investissement. En effet, il indique surtout le montant dont l’entreprise aura besoin pour le faire fonctionner correctement. Si son analyse révèle un résultat négatif, alors soyez rassuré que la santé financière de votre entreprise se porte au mieux. Votre société peut alors couvrir ses dettes et peut encore dégager des fonds pour améliorer son activité. Le BFR négatif évoque la puissance économique de l’entreprise envers ses fournisseurs et sa capacité à répartir le remboursement de ses dettes. S’il est positif, cela ne signifie pas que votre entreprise est entièrement dans le rouge. Cela signifie seulement que vous devez changer de stratégie d’exploitation pour que la trésorerie de l’entreprise ne soit pas handicapée par le BFR. Le besoin de fonds de roulement peut être saisonnier, mais cela ne doit pas être à long terme, car cela peut indiquer une situation de faillite.

Vous pouvez équilibrer cet indicateur en analysant le ratio de rotation du BFR. Le ratio est s’obtient avec le calcul suivant : (BFR/CA) x 365. Ce sont surtout les banquiers qui effectuent ce calcul afin de déterminer s’il faut immobiliser le chiffre d’affaires d’une entreprise pour qu’elle puisse financer son BFR.

Comment financer son BFR ?

Toutes les entreprises en pleine phase d’accroissement auront besoin d’un fonds de roulement. Pour cela, elle peut demander un financement participatif après des investisseurs pour financer leur BFR. Avec ce financement, l’entreprise profite d’une liquidité dont elle aura besoin pour fonctionner correctement en attendant l’argent qui vient de ses clients. Elle évite alors le décalage temporel de trésorerie.

À quelle période devriez-vous vérifier votre BFR ?

Il est important pour votre entreprise d’adopter un état financier sain si vous voulez qu’il fonctionne correctement. Aussi, vérifiez périodiquement votre BFR pour déterminer si vous devez resserrer votre gestion ou non. En cas de crise, vous pourrez trouver la meilleure solution à adapter pour y remédier avant que tout ne parte en vrille. Vous aurez du temps pour trouver des partenaires financiers aptes à vous dépanner et à consolider vos capitaux.

N’attendez pas l’indicateur de trésorerie vire au rouge pour vérifier la santé financière de votre entreprise. C’est une mauvaise habitude qu’il faut éviter pour ne pas tomber dans la faillite. Ainsi, gardez un œil sur l’évolution de votre besoin en fonds de roulement pour être plus réactive quand votre BFR connaît un important dérapage. Notez que le besoin de liquidité est important à la création de la société, si vous envisagez d’étendre votre activité, etc. Alors, faites un suivi régulier de votre BFR.

Le BFR : comment le maîtriser ?

Pour maîtriser votre BFR, vous devez effectuer une analyse profonde de votre comptabilité. Cela vous permettra de déterminer quels sont les projets prioritaires et quelles actions peuvent attendre. Ainsi, pour que votre BFR se trouve toujours au vert, vous pouvez :

• Améliorer la rotation de vos stocks de matières premières et des produits semi-finis ou finis. Vous devez calculer le délai de rotation des stocks en divisant le stock moyen par le coût production et de multiplier le tout par 360.
• Négocier avec vos clients un délai d’encaissement en proposant par exemple une petite réduction contre le paiement en cash, l’échelonna des leurs séances, etc.
• Négocier avec les fournisseurs pour qu’ils prolongent le délai de paiement de leur crédit
• Souscrire à une assurance crédit ou demander un prêt professionnel
• Demander un financement à court terme ou à moyen terme à des investisseurs

Ainsi, si vous voulez mettre en place un équilibre financier dans votre entreprise, il est important que vous disposiez d’un fonds de roulement suffisant. Cela permettra à votre société de tourner en continu sans subir des pertes. Cette initiative vous aidera également à financer votre BFR si nécessaire pour éviter de puiser dans votre trésorerie. Si l’indicateur est positif alors vous n’avez rien à craindre, par contre s’il est négatif, alors vous devez réviser votre gestion.

Aperçu des compétences attendues après une formation Amazon FBA

Examinez le programme de formation et les différents modules conçus par Super Seller Acamedie pour avoir une idée précise des compétences que vous acquerrez. Vous verrez que ce cours allie théorie et pratique pour assurer une compréhension poussée de la vente en ligne et des techniques à utiliser pour réussir son commerce.

Aisance dans la création de son commerce en ligne

Une formation Amazon FBA est bien plus qu’une simple introduction à la vente en ligne : elle couvre chaque étape essentielle de la création et du développement d’une entreprise performante. Vous apprendrez à créer un compte Amazon Seller, à définir votre budget et à développer des stratégies pour éviter de perdre de l’argent. La création d’une structure juridique est également abordée.

Maitrise du choix des marchandises et des fournisseurs

Vous apprenez à déterminer des produits à fort potentiel, qui bénéficient d’une forte demande tout en présentant une rentabilité élevée. Vous acquerrez des compétences pour trouver un fournisseur fiable, notamment en Chine.

Maitrise de la gestion des stocks et de l’entreposage

L’acheminement des marchandises jusqu’à l’entrepôt Amazon est abordé en détail dans la formation. Vous comprendrez comment organiser l’expédition des produits tout en minimisant les risques d’endommagement. Vous assurer que les produits arrivent en bon état et qu’ils respectent les standards Amazon est également une priorité. La formation vous introduit également à la manière de créer une marque forte et de la protéger.

Maitrise de la gestion des listings

Une des compétences que vous développez est la création de listings pour augmenter vos ventes. Vous saurez rédiger les descriptions de vos produits, utiliser des mots-clés, gérer les images. Vous serez capable de créer des stratégies pour obtenir des avis positifs et ainsi renforcer la crédibilité de votre marque. Les campagnes de publicité rentables seront aussi abordées. Enfin, vous serez en mesure d’automatiser le service client.

Pourquoi la formation Amazon FBA est-elle incontournable ?

La vente en ligne peut sembler accessible et pourtant elle implique une maîtrise de nombreux paramètres.

Savoir saisir les opportunités et éviter les pénalités

Sans connaissance approfondie de la marketplace, vous risquez de passer à côté de nombreuses opportunités de vente. Vous encourez également des sanctions dues à des erreurs de débutant. Grâce à une formation Amazon FBA, vous comprenez les règles du jeu, vous évitez les faux pas et êtes capable d’élaborer une stratégie gagnante.

Développer plus rapidement son commerce

La formation vous aide à passer de l’idée à l’action. Elle vous permet d’acquérir rapidement plusieurs compétences fondamentales, dont :

• Choix du bon produit,
• Recherche du bon fournisseur
• Création d’une marque
• Elaboration d’une stratégie publicitaire.

En plus des connaissances acquises dans le cadre des différents cours, vous bénéficiez des échanges entre participants. Super Seller académie, par exemple, a créé le groupe Mastermind Exclusif qui regroupe tous les participants à sa formation. Il s’agit d’un groupe d’entraide et de partage de bonnes pratiques.

Bénéficier d’un accompagnement

L’accompagnement par un instructeur expert dans la vente sur Amazon (car il est lui-même vendeur à succès) permet d’obtenir des conseils personnalisés. Les séances de coaching sont pratiques lorsque vous rencontrez des obstacles propres à votre produit ou à votre niche de marché.

Le formateur est capable de répondre à vos questions ou encore de vous aider à améliorer votre listing. C’est cette expertise que l’on ne peut obtenir en se formant seul en tentant d’exploiter des ressources disponibles.

C’est souvent la différence entre un vendeur qui démarre et un vendeur qui réussit. Une séance de coaching par mois suffit à éclaircir chaque zone d’ombre. Et c’est sans compter la mise à disposition des participants d’un espace questions-réponses.

L’automatisation et l’augmentation des ventes

Une fois que les bases sont acquises, la formation se concentre sur des stratégies d’optimisation et d’automatisation. Le but est de vendre efficacement tout en limitant le temps passé sur la gestion de la boutique. Pour ce faire, vous apprendrez à automatiser la gestion des stocks, éviter les ruptures, et améliorer constamment le cycle d’approvisionnement. L’automatisation des processus sert à libérer du temps pour pouvoir réfléchir sur les stratégies de développement à long terme de la boutique.

Parallèlement, une formation Amazon FBA intègre des modules consacrés à la publicité sur Amazon. L’objectif est que vos campagnes soient rentables. L’instructeur vous apprend à mieux utiliser les mots-clés, à créer des annonces convaincantes, etc. L’objectif est que vous ayez une visibilité maximale tout en gardant le contrôle de votre budget publicitaire.

Quelles formations suivre pour devenir courtier ?

La plupart d’entre nous pensent que pour devenir courtier il faut avoir un diplôme d’études supérieur spécialisé en gestion en management, ou en finance. Ce n’est pas le cas, même ceux qui ont eu une formation littéraire peuvent aspirer à ce métier. Pour ceux qui ont un BAC+2, un BTS en assurance serait un atout. Pour les juristes, un DUT serait l’idéal. Pour parfaire ses compétences, un courtier devrait impérativement effectuer un stage dans un cabinet.

Courtier : quelles qualités faut-il avoir ?

Puisque les bases du courtage sont la négociation et l’échange, pour exercer la profession il faut que vous ayez l’âme d’un commerçant. Mais un courtier est surtout un excellent mathématicien et un excellent gestionnaire. Ce professionnel a en effet pour mission de comparer toutes les offres disponibles sur marché. Il s’assure également de la rentabilité des investissements en effectuant des calculs pour déterminer les risques. Sans oublier la fibre relationnelle qui est une qualité exigée dans le domaine.

Quels rôles joue un courtier ?

Le courtier est le premier responsable des portefeuilles de ses clients. En principe, il réalise quatre types de missions distinctes :
– L’analyse des secteurs d’activités sur lesquels ses clients ont investi.
– L’accompagnement de ses clients dans les prises de décision.
– L’accompagnement de ses clients à chaque étape d’un placement
– La négociation lors des investissements

Souscrire un prêt, une solution facile

Il y a quelques années en arrière, souscrire un prêt pour acheter un véhicule, par exemple, n’était pas simple. Vous devez vous rendre en personne à la banque, exposer votre demande, négocier, etc. Tout cela prend beaucoup de temps et d’ailleurs, par manque d’assurance, beaucoup de personnes ne s’y lancent pas. Mais aujourd’hui, il n’y a rien de plus facile, tout se fait en ligne. Vous choisissez un organisme prêteur parmi ceux qui proposent un prêt direct comme sur le site pretdirect.com et vous faites votre demande. Puis, il suffit de suivre les instructions, remplir un certain formulaire, y joindre des documents et vous attendez la réponse. Tout cela n’est plus complexe, parfois, en seulement 1 h, vous savez si oui ou non, vous aurez les fonds demandés. Si vous devez faire face à des dépenses surprises, le crédit conso est une solution à portée de main.

Avez-vous besoin d’argent pour la décoration de votre intérieur ? Le prêt direct est là pour vous aider. Avez-vous besoin de soins médicaux budgétivores ? Le crédit conso peut vous aider à financer votre traitement. Devez-vous réparer votre voiture dans les plus brefs délais parce qu’elle vous sert pour aller au travail ? Est-ce qu’une grosse facture imprévue vous tombe dessus ? Dans ce genre de situations, vous avez un besoin urgent d’argent et une banque peut vous en prêter. En général, si c’est d’une petite somme dont il s’agit, les fonds peuvent être disponibles rapidement. Dans la journée même, tout au plus au lendemain de votre demande, l’argent est débloqué. Mais pour un montant important, vous devez attendre au moins 7 jours avant que le versement ne soit fait.

Ne pariez pas de l’argent prêté

On a évoqué plus haut les besoins urgents qui peuvent être financés grâce à un prêt direct en ligne. L’usage du prêt personnel se limite aux dépenses de consommation courante, autrement dit des services et des biens immobiliers. Mais vous êtes aussi libre d’utiliser le prêt pour effectuer un voyage, financer des études ou formations, entreprendre des travaux chez vous. Vous avez le droit de vous en servir pour réaliser un projet, remplacer un appareil électroménager ou réparer votre moto.

Est-ce que le budget pour votre mariage s’avère plus lourd que prévu ? Le prêt personnel peut être la meilleure solution. C’est uniquement pour un projet de type immobilier que ce prêt n’est pas adapté. Il ne l’est pas non plus pour les paris comme les paris sportifs. Le fait est que les paris ne sont jamais sûrs. Vous espérez gagner mais rien ni personne ne peut vous garantir que vous gagnerez. Utiliser de l’argent prêté pour faire des paris, c’est prendre un risque de le perdre. Et une fois perdu, vous ne pouvez plus le récupérer. Or, l’argent que vous prête la banque doit être remboursé en temps et en heure et avec les intérêts. Aussi, il n’est pas du tout sage d’utiliser de l’argent prêté pour parier.

L’investissement passif, c’est quoi ?

Faire un investissement passif ne veut nullement dire ne pas travailler. Il ne s’agit pas d’un type d’investissement où vous ne faites rien et attendez juste votre argent arriver entre vos mains. En fait, un investissement passif signifie gagner de l’argent en permanence sans avoir à faire trop d’effort. Et comment ? Il existe plusieurs moyens d’avoir un revenu passif. Tout dépend de vos capacités et de vos préférences.

Faire un investissement passif signifie mettre en place une activité lucrative qui vous permet d’avoir un revenu passif permanent. Ce type d’activité ne demande beaucoup d’effort qu’au départ de votre investissement uniquement. L’effort dont il est question ici peut être d’ordre financier ou intellectuel. Plus votre activité évolue plus elle sera lucrative.

Le revenu passif, pour qui ?

Le revenu passif est une solution pour les personnes qui veulent concrétiser un grand projet ou un plus gros investissement. Ou encore pour celles qui ne veulent pas se prendre la tête à travailler 24 heures sur 24 dans un bureau et suivre le rythme métro-boulot-dodo sans pouvoir profiter pleinement de la vie. En fait, avec le revenu passif, vous êtes complètement libre. Une liberté de déplacement, une liberté et une indépendance financière. En d’autres termes, vous devenez votre propre patron.

Le montant de ce revenu varie en fonction de l’activité que vous souhaitez faire et de son ampleur. Bien évidemment, plus le projet d’investissement est grand, plus les revenus sont conséquents. Certaines personnes décident même d’investir dans plusieurs revenus passifs, et peuvent en vivre. Vous l’aurez compris, l’investissement passif n’est pas réservé à une catégorie de personnes uniquement, tout le monde peut le faire/ Même si vous travaillez déjà, vous pouvez créer un revenu passif pour compléter votre revenu.

Comment avoir un revenu passif ?

Comme dit précédemment, il existe une multitude d’investissements passifs que vous pouvez faire, tout dépend de ce que vous savez et aimez faire. Pour avoir une idée, vous pouvez visiter ingrowth.fr. On peut par exemple parler de l’investissement locatif. C’est le revenu passif par excellence. Il ne requiert ni des compétences particulières ni un diplôme, il suffit d’avoir de l’argent à investir et de trouver un bien à acheter et à mettre en location et le tour est joué.

L’investissement locatif a permis à beaucoup de millionnaires de se créer un patrimoine. Et l’immobilier reste un secteur sûr et très lucratif. Même en temps de crise, vous percevez toujours les loyers de vos biens mis en location. De plus, actuellement, il existe de nombreuses façons de trouver un bien dans lequel investir. Investir dans un petit ou un grand bien, dans un appartement ou une maison, avec ou sans piscine, vous avez l’embarras du choix, tout dépend de votre budget.

Toutefois, l’investissement dans l’immobilier est souvent difficile à gérer, surtout pour une personne qui ne s’y connaît pas. Dans ce cas, une alternative s’offre à vous, c’est de laisser une agence gérer votre bien à votre place. Ainsi, vous n’aurez plus aucun souci à vous faire. Tout ce que vous aurez à faire c’est de recevoir vos loyers.

Les problèmes de trésorerie toujours possibles

Il y a des sociétés qui ont dû fermer leur entreprise ou qui ont été ruinées suite à des problèmes de trésorerie. Des soucis tels que des grèves des employés ou une baisse du nombre de la clientèle et des activités peuvent entraîner une telle faillite. Aucune entreprise n’est à l’abri de tels problèmes et pour que vous ne soyez pas désarçonné par cette éventualité, dites-vous bien que les difficultés de trésorerie sont inhérentes à la vie de toutes les entreprises. Mais le fait que vous en ayez ne signifie pas nécessairement que vous soyez forcé à la fermeture de votre boîte.

Déterminez les causes des problèmes de trésorerie

La première chose que vous devez faire lorsque de tels problèmes de trésorerie surgissent, c’est identifier la cause de ces problèmes. Est-ce que ce sont des problèmes de rentabilité ? Est-ce que c’est au niveau de votre chiffre d’affaires qui est trop bas ? Ce dernier cas de figure est le plus fréquent et le plus grave étant donné que si votre entreprise ne fait pas rentrer suffisamment d’argent dans ses comptes, comment pourrait-elle continuer à tourner, à fonctionner ? Il faut bien payer les charges, les fournisseurs, les prestataires, etc.

Les bases

En fonction de certains critères, votre entreprise pourrait être soumis à des taxes telles que la taxe d’apprentissage, celle sur les salaires, sur les véhicules de société, etc. Les entreprises sont soumises à 3 types d’imposition : la TVA, la contribution économique territoriale et l’imposition de bénéfices. Parlons de la TVA ou taxe sur la valeur ajoutée qui est l’impôt indirect sur la consommation et concerne les biens et services utilisés ou consommés en France. Votre entreprise est en quelque sorte un collecteur d’impôt au service de l’État, car vous devez facturer la TVA à vos clients. La TVA est à 5,5 %, 10 % ou 20 %. C’est donc au consommateur final de payer la TVA.

L’imposition des bénéfices et la CET

Concernant l’imposition des bénéfices, il y a deux notions bien distinctes que sont l’imposition sur le revenu ou IR et l’imposition sur les sociétés ou IS. Quant à la contribution économique territoriale, elle est composée de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises ou CVAE et la cotisation foncière des entreprises ou CFE. Il s’agit d’un impôt local qui contribue au financement des collectivités locales. Sachez que la CET n’est pas à payer entre la date de création de votre entreprise et le 31 décembre de la même année.

Points communs et différences entre le marketing du réseau et la vente en ligne

Le MLM et la vente en ligne sont deux métiers dont l’objectif est de vendre. Pour exercer l’une de ces activités, vous n’avez pas nécessairement besoin d’avoir un diplôme spécifique. Dans l’une comme dans l’autre, vous jouissez de plus de liberté. Elles vous permettent de devenir votre propre patron. Intégrer et réaliser ces deux métiers nécessitent toutefois de travailler avec beaucoup d’acharnements et de tirer profit d’internet. Mais il faut noter que ces deux carrières diffèrent sur certains points. Avec le MLM, vous n’êtes pas le propriétaire du produit. Ce dernier peut vous être proposé par une entreprise ou une marque et vos revenus se basent principalement sur des commissions. Avec la vente en ligne, vous vendez des produits qui peuvent être les vôtres. De ce fait, vous devez initialement acheter ou créer lesdits produits que vous vendrez ou que vous revendrez en prenant une certaine marge.

Avantages du marketing de réseau

La liberté est l’une des raisons principales qui poussent les gens à se tourner vers le MLM. En exerçant cette activité, vous pouvez aisément travailler où que vous soyez. C’est vous qui organiserez votre emploi du temps. Ce qui vous permettra de faire des activités que vous n’avez pas pu faire autrefois. Le MLM est propice au développement personnel. Mais il faut savoir être raisonnable. Ce n’est pas en privilégiant les séances de relaxation que vous ferez suffisamment de ventes, à moins que votre réseau de vente ne soit correctement mis en place. Plus de liberté signifie également que vous n’aurez pas de supérieur hiérarchique qui va surveiller vos moindres faits et gestes. Vous ne subirez aucune pression, car vous seul déciderez du rythme de travail que vous devez suivre.

Lequel choisir : vente en ligne ou MLM

Avec la vente en ligne, vous avez la possibilité de vendre des produits, mais pour cela vous devez souvent faire un investissement initial important. Toutefois, si vous optez pour le dropshipping, une forme de vente en ligne, votre investissement de départ peut être minime. Le dropshipping est très proche du MLM du fait que vous n’êtes pas le créateur du produit. Vous vous occupez simplement de le vendre, mais ne chercherez pas à vous constituer des affiliés ou un réseau de vendeurs. Vous pouvez alors vous demander lequel de ces deux systèmes est le plus profitable. La réponse dépend surtout de vos besoins, car chacun de ces systèmes a son lot d’avantages et d’inconvénients. Avec le dropshipping, c’est vous qui déterminez par exemple les bénéfices que vous pouvez toucher sur vos ventes. Mais vous serez, en quelque sorte, responsable de la qualité des produits que vous vendez. Comme précisé ici, avec le marketing de réseau, vous ne touchez que des commissions et vous n’êtes qu’un vendeur. Si les clients ont besoin d’informations plus spécifiques sur un produit, vous pourrez les rediriger vers l’entreprise pour laquelle vous vendez et c’est celle-ci qui les renseignera.

Les cibles du PTZ 2019

Le PTZ ne peut être demandé que par des particuliers. Il ne peut financer des projets professionnels. Il ne cible également que les primo-accédants. C’est-à-dire que les bénéficiaires ne doivent pas posséder un ou des biens immobiliers durant les 2 années qui précèdent leur demande. Et cela, sauf dérogation spéciale comme le cas de la destruction du bien qui a été utilisé comme résidence principale, par un cas de sinistre naturel. Par ailleurs, les revenus du ménage bénéficiaire seront plafonnés. En ce sens que les ménages aisés ne peuvent pas y bénéficier. Cette conditionnalité sur les revenus sera définie en fonction du nombre de personnes constituant le ménage, mais aussi la zone d’implantation du bien à acheter. Par exemple, si le ménage ne comporte qu’une seule personne, en zone A, le plafond du revenu annuel acceptable sera de 37 000 euros. Il sera de 30 000 euros s’il veut acheter un bien en zone B1 et 27 000 euros en B2.

Quel type de logement peut-on acheter ?

Avec un PTZ, il est possible d’acheter du neuf ou de l’ancien. Si vous achetez un logement neuf, l’acquisition peut se faire sur plan ou sur une habitation qui n’a jamais servi. Il est également octroyé à ceux qui veulent acquérir un bien neuf où ils sont déjà habités dans le cadre d’un contrat de bail solidaire. Il concerne aussi les locaux de bureaux neufs qui sont aménagés comme résidences d’habitation. Par ailleurs, si le bien est neuf, l’aide à travers le PTZ peut aller jusqu’à 40 % de la valeur totale du bien à acheter sans qu’il ne puisse dépasser les 150 000 euros en zone0 A et 135 000 euros en zone B pour un ménage constitué d’une seule personne. Pour l’achat d’un bien ancien, ce dernier doit avoir besoin de nombreux travaux de rénovation. Ces travaux doivent faire environ 25 % du montant du bien. Le montant pouvant être emprunté peut aller jusqu’à 40 % de la valeur totale si le bien est situé en zone B2 ou C.

L’estimation des différents coûts

Cette étape est essentielle avant de trouver le type de financement à choisir. La rénovation d’une habitation nécessite un budget assez conséquent capable de couvrir toutes les dépenses nécessaires. Afin de vous faire une idée du coût total des travaux à effectuer, vous devrez d’abord dresser une liste précise de ces derniers. Il faudra y inclure la surface à rénover, le type de travaux à réaliser ainsi que l’accès au logement. Avant d’arrêter votre choix sur un professionnel, comparez également les différents devis qui vous seront proposés. Vous devrez aussi inclure dans votre budget les éventuels coûts que peuvent occasionner les diagnostics tels que le DPE, l’examen du réseau de gaz et de l’électricité, etc.

Quel prêt pour un achat immobilier nécessitant des travaux ?

Le prêt travaux vous permet de jouir du même taux qu’un crédit immobilier. Il vous sera possible d’inclure dans votre demande de financement un budget qui sera alloué aux travaux à effectuer sur le logement. Le prêt à taux zéro dans l’ancien vous conviendra si vous n’avez jamais été propriétaire de votre résidence secondaire auparavant. Si vous êtes détenteur d’un PEL ou d’un CEL, il vous est possible de faire une demande de prêt épargne logement. Celui-ci vous permettra de financer vos travaux sur votre future résidence principale.

Les possibilités de financements après une acquisition foncière

Pour financer des travaux sur un logement, vous avez la possibilité de souscrire à un prêt à la consommation. Vous pouvez également faire une demande de financement auprès de la CAF. Pour les rénovations et travaux d’amélioration de la performance énergétique, l’eco-PTZ est le moyen de financement tout indiqué. Les salariés du secteur privé ont droit au prêt travaux proposé par Action logement. Les retraités quant à eux, pourront compter sur la caisse de retraite pour financer les travaux de rénovation sur leurs résidences principales.